Hypernuit
13.04.22 - 28.08.22
Hypernuit
13.04.22 - 28.08.22
Hypernuit
13.04.22 - 28.08.22
Un large couloir baigné d'un lumière rouge intense. En face, deux escaliers en métal de type industriel. Au plafond des suspensions en néon rouge forment des volumes comme pour représenter des habitations.
SARKIS, "14 lustres des Ateliers Brulés de Sarkis depuis 1956, 1999/2000". Collection du Capc Musée d’art contemporain. Exposition "Hypernuit" à la Base sous-marine de Bordeaux (13.04.2022-28.08.2022). Photo Frédéric Deval / Mairie de Bordeaux. © Adagp, Paris, 2022

Hypernuit est née de l’envie de concevoir une exposition à partir des collections du Capc musée d’art contemporain et du Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA, rarement réunies au cours de leur histoire. Hypernuit s’inscrit par ailleurs dans un contexte particulier, celui de la Base sous-marine, que cette exposition investit à la fois comme une boîte noire cinématographique et une caisse de résonances de mémoires oubliées ou occultées.

Du
13.04.22
au
28.08.22

Commissaires : Claire Jacquet
et Sandra Patron
Avec la complicité de Karen Tanguy
et d’Anne Cadenet,
responsables des collections

Hors les murs :
Base sous-marine de Bordeaux

Prenant acte de la récente pandémie et des bouleversements intimes et collectifs qui en découlent, Hypernuit se présente comme une expérience de la perturbation, signe d’un présent traversé d’éclats du passé et de lueurs du futur, imprégné d’inquiétudes, de mystères et de rêves. À l’image du Que faire ? (Che Fare?), question que nous pose l’œuvre de Mario Merz en introduction de l’exposition, ce présent incertain nous engage collectivement à affronter le réel autant qu’à le réenchanter.

La plupart des œuvres présentées oscillent ainsi entre intérieur et extérieur, obscurité et luminosité, espace intime et espace social, histoire officielle et récits personnels. Ces pièces, à forte charge sensible ou sensorielle, jouent sur des effets de lumière, des rapports à la nuit et à l’histoire.

L’exposition Hypernuit se déploie telle une ligne d’horizon qui rappelle notre capacité à outrepasser le réel quand celui-ci ne suffit pas. Elle rend palpable cette phrase tirée de l’œuvre de Marianne Mispelaëre : « Quelque chose commence à craquer sous nos yeux ».

 

Commissaires : Claire Jacquet, directrice du Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA, Sandra Patron, directrice du Capc musée d’art contemporain de Bordeaux avec la complicité de Karen Tanguy et d’Anne Cadenet, responsables des collections

 

Artistes : Caroline Achaintre, Dennis Adams, Marie Angeletti, John Baldessari, Richard Baquié, Sam Basu, Nina Beier, Julie Béna, Hélène Bertin, Kerstin Brätsch & Debo Eilers, Shirley Bruno, Maurizio Cattelan, Gaëlle Choisne, Pascal Convert, Arnaud Dezoteux,  Antoine Dorotte, Richard Fauguet, Anne-Charlotte Finel, Pierre Huyghe, Charlie H. Jeffery, Anne-Marie Jugnet, Özgür Kar,  Rainier Lericolais, Mark Lewis, Paul Maheke, Benoît Maire, Angelika Markul, Randa Maroufi, Mario Merz, Vincent Meessen,  Amina Menia, Nicolas Milhé, Marianne Mispelaëre, Niamh O’Malley, Cécile Paris, Diego Perrone, Jack Pierson, Naufus Ramirez-Figueroa, Chantal Raguet, Yvonne Rainer, Vandy Rattana, Navin Rawanchaikul et Rirkrit Tiravanija, Lili Reynaud Dewar, Sarkis, Samara Scott, Reena Spaulings, Thu-Van Tran, Rosemarie Trockel, Heimo Zobernig.

 

Exposition à la Base sous-marine
284 Boulevard Alfred Daney, Bordeaux

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